1 Les ponts suspendus
Le pont suspendu de Capilano, 136 mètres de long et 70 mètres au-dessus de la rivière Capilano, se trouve parmi la destination favorite de nombreux voyageurs. Il a été construit à la base en utilisant la corde de chanvre et de planches de cèdre, mais la version actuelle est un peu plus sécurisé, mais pas moins terrifiant en apparence. Capilano est une propriété privée, donc il y a des frais d’accès.
2 Le parc Stanley
Le mot «parc» évoque des images de chemins de ranger et de pelouses cultivées. Alors que le parc Stanley a cela, il a également un demi-million d’arbres, avec des zones boisées si denses que les gens parfois se perdre en faisant une promenade. Encore plus grand que Central Park à New York, à plus de quatre kilomètres carrés, c’est le poumon de la ville, où les habitants vont célébrer en flânant le long de la digue. Les 200 kilomètres de sentiers pédestres et cyclables font de Stanley un véritable must to do.
3 Le Festival des Lumières au Jardin botanique VanDusen
Vancouver a son légendaire festival des lumières, VanDusen Botanical Gardens est un spectacle lumineux. Des millions de lumières colorées enroulées autour des arbres et des parterres permettant de transformer les jardins dans une grande fête de noël au mois de Décembre. La ville étant respectueuse de l’environnement, la plupart sont des ampoules basse consommation, afin que les visiteurs puissent marcher à travers Candy Cane Lane sans la culpabilité.
4 Grouse Mountain
Grouse Grind, avec le dénivelé de 853-mètres est communément appelé par les habitants de Vancouver comme «Stairmaster Mère Nature ». Grouse Mountain domine la ville de la Côte-Nord, offrant des possibilités de ski alpin en hiver et la randonnée pendant les mois plus chauds. Un refuge pour la faune et une plate-forme d’observation en verre bulle au sommet d’une tour éolienne sur les sites touristiques de la montagne.
5 La tournée du courrier
Le détroit de Georgia, entre l’île de Vancouver et la côte de Colombie-Britannique continentale, est bourré de petites îles. A partir le la ville Coal Harbour, un hydravion fait une expédition pour la livraison de courrier quotidien, prenant des passagers le long de la promenade, puis effleure Grouse Mountain passé et la ligne d’horizon sur le retour. Une taxe de compensation carbone est inclus dans le prix du billet.
6 Le restaurant Tomahawk
Le Restaurant Tomahawk est bien plus qu’un simple endroit pour prendre son dîner, mais est nettement plus étrange que la moyenne. Son histoire s’étend de 1926 et le site admet le propriétaire d’origine, Chuck Chamberlain, «ne savait pas vraiment comment faire cuire au début, mais il a appris ». Durant la Grande Dépression, Chamberlain pris l’habitude d’échanger des bibelots indiens pour la nourriture, il a même nommé hamburgers après les chefs autochtones…
7 Galerie d’art Bill Reid de la côte nord-ouest
Bill Reid occupe une place importante dans le monde de l’art canadien, un maître orfèvre, sculpteur, écrivain et membre de la nation autochtone Haïda du Pacifique nord-ouest. Cette galerie rassemble quelques-uns de ses meilleurs travaux. Son objectif est plus ambitieux encore, préserver une culture datant de l’ère glaciaire.
8 Musée d’anthropologie
On oublie souvent d’être un peu à l’écart de l’Université de la Colombie-Britannique, le Musée d’Anthropologie est un coup de grâce: tous ceux qui souhaitent en apprendre davantage sur les peuples des Premières nations du Pacifique Nord-Ouest devrait faire l’effort.
9 Gastown
Si votre idée de l’anthropologie tend davantage vers observer les gens, le site historique national de bourdonne Gastown avec des bars, des cafés et des galeries. Nommé d’après «Gassy» Deighton Jack (une sorte de coussin de sécurité gonflable), qui a ouvert le premier saloon de la région en 1867, Gastown est devenu l’un des quartiers les plus animés de Vancouver. Mention spéciale au Pourhouse, où le barman vous fera un cocktail personnalisé en fonction de votre humeur…
10 Vancouver Art Gallery
Des expositions temporaires afin de revenir sur les différents aspects de l’histoire de l’art à travers les provinces, mettant en lumière l’apparition de l’abstraction dans les années 1960, ou encore des artistes de premier plan tels que Harold Town, « Picasso du Canada». Une récente exposition, Beat Nation, brillamment illustré la manière dont l’identité indigène a été juxtaposées à la culture des jeunes en milieu urbain.